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Cette page Web se dévoue à l'histoire du fort Wellington, du temps de sa construction comme fortification défensive sur le fleuve Saint-Laurent, jusqu'au temps de sa désignation en tant que lieu historique national en 1925.

Ce guide pour visiteurs offre un point de départ duquel accéder à de l'information sur l'historique, les activités, et les attractions du fort Wellington et ses alentours.

Pour cette activité en classe, on propose à l’élève six mots anglais fort simples utilisés par les soldats dans divers forts de défense du Haut-Canada pendant la guerre de 1812. Les élèves peuvent chercher les définitions de ces termes. Les élèves discuteront des différents sens de ces termes tels qu’ils sont utilisés aujourd’hui en comparaison de ceux qu’ils avaient pendant la guerre de 1812.

Les raids des Fenian de 1870 ont provoqué la mobilisation de quelque 13 500 miliciens volontaires durant l’été. Ils furent postés le long de la frontière canadienne avec les Ètats-Unis. Un groupe de Fenian à Malone, près d’Ogdensburg dans l’État de New York, méditait une attaque sur Prescott, mais leur plan fut déjoué par l’arrivée au fort Wellington de 300 miliciens volontaires canadiens accompagnés d’artillerie de campagne. À proximité se trouvaient 200 hommes à Brockville et quelque 800 autres avec de l’artillerie de campagne à Cornwall. Les Fenian décidèrent de ne pas attaquer. (Bibliothèque et Archives Canada, C-040161)

Le Haut-Canada est envahi à deux reprises par les forces des patriotes à la fin de 1838. À l'est, une force combinée de radicaux canadiens et d'alliés américains tombe dans un piège près de Prescott, après une tentative avortée de s'emparer du fort Wellington. À l'ouest, les envahisseurs s'emparent de Windsor, mais en sont rapidement chassés.